non bien sûr l’idéologie transidentitaire n’est pas progressiste
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Je vais écrire ici des choses sur l’idéologie transidentitaire - si cela vous dérange, dites vous que c’est un travail préparatoire, des notes qui serviront pour écrire une fiction, qui évolueront et seront développées peu à peu.
Et tout d’abord,
L’idéologie transidentitaire n’est pas à considérer comme un tout uniforme.
Deux mécanismes, comme deux psychologies entrent en jeu.
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Dans un sens des femmes, souvent des jeunes femmes. Voire des jeunes filles. Parfois dans des situations de précarité psychologiques et/ou physiques, affectives, financières, médicales, addictives, … les rendant plus sujettes à une forme d’endoctrinement sur les réseaux sociaux, qui fonctionnent alors comme une communauté à laquelle se dévouer pour être intégrée, admise quelque part.
L’isolement et la perte de confiance d’individus ainsi éparpillées dans les toiles d’un réseau dont il leur est difficile de se défaire rappellent les procédés sectaires.
Les jeunes filles restent non pas par la contrainte énoncée ni par la menace (quoique ?) mais juste par l’auto-restriction à agir autrement que par et pour ce réseau du matin au soir.
Donc des femmes. A qui l’on vend des hormones (à vie) pour se sentir - ou devenir – ou prétendre devenir – ou jouer à être devenuE - un homme.
Un public, plutôt fragilisé, à qui on impose une sorte d’expérience : modifier son corps - ses équilibres et ses fonctions vitales - et du même coup perdre sa capacité à donner la vie, à donner naissance, à enfanter, appelez ça comme vous voulez ; par la consommation de substances de synthèse, par des mutilations sexuelles ; qui d’ailleurs, sont pratiquées lors d’opérations planifiées, ritualisées dans un lieu d’autorité - à l’hôpital – ce qui fait penser là encore à des pratiques sectaires d’initiation par la mutilation.
Symbolique. Ou Pas.
L’autre public et l’autre mécanisme psychologique qui caractérise l’idéologie transidentitaire, concerne alors des hommes, souvent plus âgés et possiblement prédateurs, ou – si la l’âge ou la lâcheté les empêche de passer à l’acte – des fétichistes, ou auto-gynéphiles qui prétendent se sentir assez femme pour s’introduire dans des espaces jusque là réservés exclusivement aux femmes – toilettes, vestiaires, compétitions sportives, concours ...- se sentir tellement femme qu’ils auraient des règles douloureuses, des faux saignements, des culottes spéciales et tout un attirail pour prétendre mimer, copier, usurper, plagier, accaparer, coloniser, représenter, incarner sur terre … la féminité.
Bien sûr, comme donner vie pour un homme, même avec les meilleurs hormones, les meilleurs chirurgiens, les meilleurs coach et les meilleurs médias du monde risque de se trouver très vite confronté à une frontière physique, celle de l’in-TRANS-formable : celle de la structure osseuse du bassin dans le squelette humain – bien sûr donc que ce projet chimérique de transformation est voué à l’échec.
Les hommes resteront des hommes : incapable d’enfanter.
La réalité est ainsi : factuelle.
et le matérialisme historique, tenace.
Mais dans une communauté d’esprits - bien entendu minoritaire – dans un contexte, un environnement assez consistant pour tisser avec ses menus mensonges, un petit peu de lien social et quelques nœuds de réseaux socio-pro cela peut tout à fait suffir à maintenir ladite communauté sous influence, qui partage alors le même mensonge, la même petite histoire secrète et fabuleuse : regarde ! Je suis devenuE :
# H # F rayez la mention inutile
Ce récit mensonger partagé est constitutif du procédé, ce qui aurait tendance à laisser penser là encore, à quelques similarités avec l’endoctrinement sectaire.
Quoique différentes l’une de l’autre, ces deux psychologies mijotent ensemble plus ou moins à l’abri des regards du grand public et se fréquentent sur les réseaux sociaux ou dans des contextes militantes de revendication – toujours mieux financés que les trucs à l’arrache bricolés dans un squat avec de la récup par les mouvements contestataires radicaux et spontanés, autogérés et anarchistes, brefs marginaux qu’illes plagient là aussi, usurpent, miment, copient, accaparent, colonisent et prétendent représenter.
Le progressisme selon la bonne société humaniste de gôche aujourd’hui, ressemble donc à un vase clos et glauque dans lequel se mêlent des proies affaiblies plus ou moins précarisées. Et des prédateurEs - hommes et femmes - séduites à l’idée de dominer, de dévorer en vampire cette éternelle jeunesse.
Symbolique. Ou pas.
Le climat malsain, malaisant qui peut - ainsi présenté - se dégager de la communauté transidentitaire ne doit pas faire oublier les intérêts qui entrent en jeu.
Symboliques. Ou pas.
En premier lieu, les Intérêts financiers bien concrets de laboratoires qui fabriquent et vendent les hormones ainsi que toute la pharmacopée qui va avec. Les cosmétiques pour camoufler. Les médecines et les chirurgies esthétiques. La mode. Les média. Le Spectacle. qui sont mobilisés pour accompagner et vendre le narratif progressiste et victimaire qui va avec Et puis les prothèses. Les implants. et toutes les artificialisations expérimentales grandeur ‘nature’ du corps humain que l’on peut imaginer. Ces adelphes-adeptes sont soumisEs à des transformations censées certainement les propulser bientôt - ou trop tard - vers un transhumanisme fantasmagorique, mi golem mi frankenstein – mi eugéniste mi esclavagiste – avec ses gpa éthiques et ses neurolinks qui libèrent.
Car il faut bien un fond de rêve pour imposer tout ce pataquès aux couleurs merveilleuses d’un arc en ciel radieux à un public intoxiqué. Une sorte de transhumanisme totalitaire connecté, amoral et sous emprise bienveillante…
Je ne prétends pas décrire ainsi tout ce qui passe, bien plus amplement dans la société sous le terme de woke. Ce serait là un dézoomage, une généralisation de mauvaise foi.
Non. Non. J’essaie simplement de décrire un processus d’inversion et de perversion de la réalité qui s’affiche comme un progrès tout en dissimulant ses intentiions.
L’amalgame d’un mouvement ‘trans’ unique, que je déconstruis au départ de ma réflexion en deux mécanismes psychologiques est déjà une sorte de dissimulation manipulatoire. Avec les injonctions à défendre et soutenir un mouvement ‘trans’ sous prétexte de droit des femmes à se masculiniser – ce qui déjà devrait être mis au débat, car cela ressemble un peu, de loin, à du féminisme puisque cela concerne les femmes ... sans en être pourtant – avec ces injonctions donc sous peine d’être taxé de conservateur voire de fasciste – des HOMMES prédateurs se retrouvent de ce fait défendus et soutenus par une partie de la société (fascinée ?) pour avoir le droit de s’imposer dans la communauté des femmes en fréquentant parmi elles, celles qui sont les plus précarisées.
Tout cela en créant un marché de plusieurs milliards de thunes, contrôlé par des hommes majoritairement : chirurgiens, industriels, investisseurs et financiers.
Sous prétexte de défense du droit des femmes, un mouvement prône et enrichit une idéologie phallocrate – ou phallocratie.
Autant d’inepties condensées en un projet social total :
Cela pourra sembler absurde !
Or c’est bien là tout l’art du Spectacle : de faire prendre des vessies pour des lanternes au papillon naïf, avec même son assentiment et jusqu’à sa sympathie maladroite, devant tant de prodiges …